#45 – Fémur Immo – Marie Mirgaine

Où l’on suit les aventures de Marie-Jo Fémur et de sa famille squelette, à la tête depuis quelques siècles d’une agence immobilière s’échinant à trouver des maisons originales et adaptées à chaque créature ou animal peu ragoutant s’y présentant. Un jour, Monsieur Pasclair lui fait miroiter un générateur de maisons qui lui permettrait de répondre à chaque demande bien spécifique en deux temps trois mouvements. Mais la machine s’avère truquée pour inverser les maisons…

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#44 – Il était 343 fois – Dominique Ehrhard et Anne-Florence Lemasson

Voilà donc bien un livre pop-up mais toute son originalité réside dans le fait qu’il est également un livre méli-mélo de textes et d’images où sept personnages et leurs histoires sont découpés chacun en trois parties (tête, corps et jambes), laissant chacune dévoiler un délicat pop-up, que l’on peut combiner au bon vouloir de chaque lecteur et de chacune de ses lectures pour former 343 combinaisons possibles.

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#42 – L’immeuble d’à côté – Laurie Agusti

L’on suit ici le regard d’Alma, petite fille semblant assez solitaire, qui espionne, de chez elle en ville, ce qu’elle voit de sa fenêtre, des petits oiseaux à l’immeuble en train d’être construit juste en face. À partir de ses observations minutieuses, elle invente tout un monde et distingue petit à petit dans l’immeuble en construction des sortes de fantômes étranges vaquant à diverses occupations au fil des saisons et de l’avancée des travaux.

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#37 – L’île aux deux crabes – Sylvain Alzial et Loïc Gaume

Ici, ou plutôt sur une petite île perdue dans l’océan, il y a fort longtemps, alors que les animaux vivaient sans parure aucune, ils se trouvent un jour dotés chacun par une vieille magicienne, qui de plumes, écailles ou fourrure… Manquent uniquement à l’appel Petit-Bernard et Grosse-Pince, lointains ancêtres du bernard-l’ermite et du crabe, plus occupés à s’amuser sur la plage avec des noix de coco.

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#34 – Le Grand Micmac des couleurs – Gonçalo Viana

Ici, l’histoire commence par le classique « Il était une fois » pour, dans la même phrase, vriller dans la réalité racontée en évoquant, après les personnages, un arbre blanc puis d’autres incongruités de ce genre. S’en suit un jeu narratif entre cette histoire aux couleurs étonnantes et irréelles et des adresses directes au lecteur supposé se plaindre des fantaisies chromatiques de l’illustrateur.

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